Sex stories

Je vais maintenant vous raconter un autre plan avec un autre de mes petits amis. Il se passe quelques années après le plan précédent. A l'époque, je venais de rentrer à l'instruction sous-officiers d'élite de la Gendarmerie (belge) et lui était en faculté de médecine. Nous vivions tous les deux chez nos parents, enfin, moi j'étais interne durant mon instruction. Autant vous dire que cela n'était pas facile de se voir et d'avoir des rapports intimes. J'avais permission chaque jeudi soir jusque 23h. Nous avions décidé de nous voir. Nous nous sommes donné rendez-vous à l'orée d'un bois près de chez lui. Nous étions à l'arrière de ma voiture. Sachant que j’étais fétichiste des pieds, il avait mis des cho7 blanches et les avait gardé depuis la veille. Excité comme jamais par ses cho7, je bandais dur, très dur, à en avoir mal. Nous nous embrassions et nous caressions. Il finit par enlever son pantalon et son slip. Je me suis appliqué sur son membre viril en le conduisant au bord de la jouissance. Il l'arrêta, il voulait me pénétrer le fondement. Je me laissais faire avec plaisir. Il me pénétra durant de longues minutes et fini par éjaculer dans sa capote. Ensuite, il me demanda: "- Tu veux me sniffer les pieds?" Question, vous vous en doutez, à ne pas me poser. Je passait sur le siège avant, il posa ses pieds sur le sommet du siège. Je sniffais ses pieds à en être saoul tout en me masturbant. Tout comme lui. Arrivé au bout de la jouissance, il me demande: "- tu veux une faciale? - Oh oui". Je repasse à l'arrière, me couche sur ma banquette. Il se met à califourchon sur moi et recommence à se masturber pendant que je lui lèche les testicules. Il crie comme une bête et lâche sa semence chaude sur mon visage. Je me branle aussi et éjacule. Les jets atteignent son épaule tellement je suis excité. Il m'essuie le visage, restons encore quelques minutes ensemble. Je rentre à la caserne et lui, chez ses parents. Nous sommes encore restés quelque temps ensemble jusqu'au moment où j'ai découvert qu'il me trompait. Je l'ai largué le jour où j'ai été nommé adjudant. La vengeance est un plat qui se mange froid. La prochaine fois, je vous raconterais ce qui s'est passé quelques semaines après mon affectation comme sous-officier d'élite dans ma nouvelle unité. Cela s'est passé avec le commandant en second. A bientôt.