Histoires gay sex de Sketboy

J’ai sniffé les TN du pote rebeu de mon coloc. Il m’a pris pour sa pute, m’a défoncé et recouvert de foutre. Sexe brut et humiliation virile.

Tourne-toi, je vais, je veux ton cul je me suis mis sur la banquette, il a descendu mon Survêt bien lubrifier sa queue avec sa salive et mon trou et il me l’a enfoncé direct une bonne grosse teub de 18 cm un peu large. J’ai grave kiffé couiner, il m’a limer le trou pendant au moins 10 minutes, il a pris sa TN et il me l’a foutu sur le pif, on était trop excité, il m’a dit putain

L’ambiance monte, le type lui dit : "Mate mes TN, lèche-les si t’es chaud." Mon pote, dans le délire, s’exécute, sentant l’odeur des baskets encore chaudes, et ça l’excite encore plus. Tout reste dans le fun, sans pression. Après un moment, le mec propose : "T’es partant pour plus ? J’te laisse choisir." Mon pote, déjà à fond, acquiesce. Le type lui retire ses Asics NYC, et pendant qu’il gémit de plaisir, il dit "vas-y" au lieu de "non".

Nos odeurs le rendent dingue, il grogne comme un chien affamé. On le laisse faire, puis Émile le relève, lui baisse son short. "À toi de prendre, maintenant." Richard, nerveux mais excité, acquiesce. On sort une capote — on est pas cons — et on le prend, chacun son tour, doucement puis plus fort quand il gémit "continuez".

Appelez-moi Santiago, tout le monde le fait.
Ce que je veux vous raconter s'est passé il y a une semaine environ au Leo's Iron Man Gym, où je m'entraîne tous les jours.
C'était une soirée comme les autres à la salle de sport. Je venais de terminer ma séance d'entraînement. C'était un mercredi, ce qui signifie que j'avais fait une séance d'entraînement épuisante de deux heures avec des poids libres et une heure sur un vélo stationnaire, pour vraiment brûler des calories et transpirer à grosses gouttes, pas d'appareils de musculation le mercredi, pas du tout, pas du tout, pas du tout, le mercredi je me punis totalement à la salle de sport avec des poids libres, je me pousse vraiment au-delà de mes limites...
...parce que c'est ce que font les musclés poilus comme moi.