Histoires de sexe

Me voici dans une position plutôt délicate : un mec dont j'ignore l'identité me plaque la TN de Sofiane que j'étais en train de vénérer et ma bite vient de cracher son nectar blanchâtre sur mon cuir. Je ne sais pas comment réagir. « - Alors comme ça tu te fais passer pour moi auprès de Vincent. C’est le seul moyen que tu as fait pour essayer de le récupérer. Mais je pense que tu ne peux pas rivaliser avec mon beau barreau. Et comme je pense que la pratique vaut mieux que des mots pour comparer, tu vas y goûter. - Je pense que Vincent ne s’est pas plaint du traitement que j’ai réservé à Brice et il savait que c’était moi qui l’ai baisé sa petite gueule de motard cuir. - Ce n’est pas ce qu’il m’a dit, me crie-t-il d’un air dédaigneux. - Mais tu n’étais pas là pour voir la pelle de malade qu’il m’a roulé.» Je sens qu’il relâche son étreinte sur la TN restée collée à mon visage. C’est à ce moment que je décide de me relever et comme je le pensais, il se retrouve déséquilibré par mon geste brusque et se retrouve à genoux quelque peu décontenancé. J’en profite pour prendre le dessus sur lui et viens lui coller le visage sur mon cuir à l’endroit où j’ai juté. « - Brice, je n’apprécie pas que l’on me surprenne en plein moment de détente et je kiffe encore moins quand à cause de ça je crache sur mon cuir. Allez, ouvre grand la bouche, et viens nettoyer les dégâts que tu as causés. - Et puis quoi encore Greg, tu te prends pour qui ? - Pour ton pire cauchemar Brice si tu ne m’obéis pas. Allez, lèche salope. En plus, tu vas le kiffer mon jus de queue. - Rêve toujours connard. » Oh, voilà qu’il me manque de respect. Mais je sais comment éduquer les p’tites lopes mal polies. Je viens coller le bout de ma Forma Ice sur son entrejambe et j’appuie avec une certaine puissance. Je le vois le souffle coupé ce qui commence à me faire bander à nouveau. « - Alors tu ne veux toujours pas réparer ta connerie. - Oui, bâtard. Mais lâche ma queue. » Je décide de serrer un peu plus fort suite à cette nouvelle impertinence. Il lâche un autre cri de douleur « - Je n’ai rien entendu. Tu vas nettoyer ? - Oui. - Oui qui ? - Non pas ça. Aiiiiieee... (Je resserre encore plus mon pied sur son entrejambe). Oui… Maître…. - Ah tu vois quand tu veux Brice. ». Je l’entends quand même soupirer mais je laisse cette marque d’impertinence passer. Et le voila la langue sortie à lécher mon yop qui commence à sécher sur le cuir. « Bien ma petite lope. Tu fais du bon boulot. Et en plus tu y mets de l’application. ». J’ai même l’impression qu’il commence à y prendre goût. Je le vois essayer de replacer sa queue sous son cuir. « - Alors p’tit bâtard. Tu as kiffé faire plaisir à ton maître ? - Lol je suis bien obligé de le faire. - Arrête je t’ai vu essayé de replacer ta queue. Tu commences à bander. - Dans tes rêves mec. - Lol. Ne joue pas à ça avec moi, je vois que tu as l’air de prendre du plaisir à te faire dominer. - Non. (Je lui colle ma main dans la gueule). Oui… (je lève à nouveau la main) Maître. - Tiens viens on va se mettre dans cette pièce, tu vas voir on va bien s’amuser. » Je le fais passer devant moi. Dans la pièce un grand lit qui me sert quand Vincent venait me rendre visite pour une sieste crapuleuse. Je fais s’allonger Brice et je viens m’allonger sur lui en commençant à le galocher… Mais d’une main, je recherche dans le tiroir du meuble à côté les menottes qui traînent et viens attacher avec Brice. « - Non qu’est-ce que tu fous salaud ? - On va s’amuser un peu Brice. » Il se met à gueuler. Je choppe alors une corde pour attacher son autre bras et ensuite je le bâillonne. Et une idée me traverse l’esprit. Je prends mon téléphone, compose un numéro. Mon interlocuteur décroche. « - Allo. - Allo Vincent. C’est Greg. J’aimerais qu’on parle un peu de ce qui s’est passé hier. Peux-tu passer au bureau STP ? - OK Greg. J’arrive. » - Alors Brice, tu as entendu (j’avais mis le haut-parleur) ? Vincent arrive et tu vas voir que je ne t’avais pas menti sur le fait qu’il me kiffe encore… » Je le vois s’agiter sur le lit. Il me semble bien énervé. Sur ce, en attendant l’arrivée de Vincent, je reprends une bonne bouffée des TN de Sofiane. Hummm toi aussi Sofiane tu me fais kiffer. Il va falloir faire plus ample connaissance. Les odeurs de Sofiane agissent comme un stimulant sur ma queue qui continue à prendre de l’ampleur…