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Cours de Maths – 5
Histoire gay publiée le 21/03/2020
Après cette séance de pur kiff, le calme était revenu dans la piaule de Baptiste et Nouredine. Dire que je m’étais laissé dominer par ces deux purs bogosses. Mais qu’est-ce que j’ai kiffé bouffé les putains de crampons d’un beau rebeu et les belles queues de ces coéquipiers de foot. Mais là je dois me concentrer sur le cours de Baptiste. Qu’il est magnifique quand il se concentre et puis il a bien sûr gardé sa tenue PSG qui me fait toujours autant d’effet visuellement que par l’odeur qu’elle dégage. Sa nervosité s’exprime par les tapotements réflexes de ses pieds que beaucoup d’élèves ont quand ils ne trouvent pas la solution. Que ce mouvement de jambe est excitant. Tout part de sa TN Greedy. Celle-ci est juste appuyée au sol par la pointe. Je suis tisé par le léger tassement de la bulle d’air à chaque début de mouvement de ses pieds. Je remonte un peu et je vois cette longue cho7 bleue PSG qui gaine son beau mollet. Je me vois déjà y reposer ma langue et le parcourir de long en large. J’arrêterais longuement ma langue sur le logo Nike brodé car comme vous le savez je ne peux pas m’empêcher de le vénérer dès que je l’ai sous la main ou la langue. Je continue l’exploration de cet apollon en arrivant au short. La virgule Nike en bas de la jambe me fait de l’œil mais un autre détail vient accrocher mon regard : il me semble que la queue de Baptiste ne soit pas rassasiée et essaie de se faire remarquer en pointant dans le long de sa jambe. Oh Baptiste, tu me chauffes trop !!!! Une question me tire de mes pensées : « Jules, je n’arrive pas à résoudre cette équation. Je me rapproche de lui et nos deux cuisses sont très proches. Je me penche vers sa feuille et lis sa démonstration. Pendant ce temps je sens son souffle qui vient frôler la peau de mon cou. De plus, sa jambe continue ses mouvements et sa cuisse vient se frotter par intermittence à la mienne. Je reste toutefois encore maitre de mes pulsions. « - Tiens regarde Baptiste la tu t’es trompé dans la factorisation, il faut que tu recommences à partir de cette étape ... - Ok, merci Jules. » Et le voilà qu’il se replonge dans sa résolution d’équation. Mais cette proximité a réveillé mon désir. Mais je ne veux pas déconcentrer Baptiste dans son exercice. Alors je décide pour le moment d’humer ses effluves de footeux. Mais ceci n’arrive pas à calmer mon envie de kiffer. Un évènement déclencheur involontaire de Baptiste va venir m’enflammer. Il ne se rend pas compte qu’il ne fait que frotter sa cuisse contre la mienne. S’en est trop pour moi et ma main gauche part à l’exploration de sa cuisse sous la table. Le contact avec le tissu du short m’électrise. Baptiste reste encore pour sa part concentré mais ne repousse pas mes caresses. Mes mains sont avides de découvrir chaque relief de cette cuisse. J’en ai des frissons qui me parcourent tout le corps. Cette électricité se traduit aussi par la raideur de ma queue qui s’amplifie. Ces caresses ont pour effet de calmer mon élève dans ses mouvements de pieds. Cependant, il semble encore dans son exercice. Toutefois, au bout de peu de temps, Baptiste se met à émettre un léger soupir. Eh oui, je venais d’arriver au point critique : la partie de la jambe ou était collée sa queue, je venais de prodiguer une caresse furtive à son gland. La goutte de précum que je sentais mouiller le tissu me donnait plus de motivation pour continuer mes caresses. Ainsi pour décupler son plaisir, je décide de me faufiler par le bas de jambe du short pour mener mes caresses sans barrière. Mon initiative commence à déconcentrer mon disciple dont je vois le stylo avoir de plus en plus de mal à écrire. Je le vois trembler et son écriture devenant de moins en moins lisible. Baptiste commençait à entrer en transe grâce à mes caresses. Le traitement en douceur que je lui prodigue lui fait entrouvrir la bouche pour qu’il halète de plaisir. Je n’en peux plus. Tout en continuant de le caresser je lui roule une tendre pelle qu’il me rend également. Puis nous décollons nos lèvres quelques instants pour entendre Baptiste me dire : « - Hummm. La douceur a également du bon. Je suis tout à toi Jules, fais-moi voir que l’on peut aussi prendre son pied avec un bogosse en skets et survêt tout en douceur. - Avec plaisir Baptiste. Et quoi de mieux que de commencer par une petit douceur pour commencer. » Sur ces paroles, j’écarte de quelques centimètres la table ou reposaient les affaires de travail et je viens approcher tendrement mes lèvres de la magnifique hampe encore couverte de son cocon de tissu. » A suivre …