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Mon patron, ce canon - 2
Histoire gay publiée le 05/04/2021
« Je te le répète, qu’est-ce que tu fous à porter mes sapes ? » Me voilà dans une plutôt délicate. Mon patron vient de me surprendre habillé de ses sapes de foot du Real et puis surtout la queue dans sa TN gauche qui a pris une bonne dose de mon jus de kiffeur. « Et surtout qu’est-ce que tu fous avec mes TN ? Salopard, pourquoi tu en as une sur la queue ? » Je ne sais pas quoi dire. Et là il tombe des nues : « Mais putain, tu t’es branlé avec ? » Il approche sa TN pour regarder dedans quelques secondes et se retourne en me la balançant à la gueule « - Salopard, t’as juté dedans. C’est quoi ton problème salopard. Tu crois que je vais te laisser faire ce que tu veux avec mes TN ? Tu vas devoir me les rembourser. - Désolé patron, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je vais vous en racheter une paire. - J’espère bien. Allez ramasses les, enlèves mes sapes, changes et viens bosser. On verra ce soir pour régler le problème. Et remets tout dans mon vestiaire. » Sur ces mots, il retourne au fournil. Je me désape rapidement non sans profiter une dernière fois du contact de ses TN et de son kit de foot. Pendant la journée de travail, je sens tout de même un malaise avec mon patron. Il évite au maximum d’être trop près de moi. Cependant, un problème avec le pétrin mécanique nous oblige à intervenir dessus tous les deux. Durant cette réparation, je lui touche par inadvertance la main et je le vois devenir tout rouge après ce contact. Il la retire et on continue de réparer la machine sans échanger un seul mot. Il y a eu une certaine tension entre nous toute la journée. En fin de journée, je retourne au vestiaire pour me changer. Mon patron semble retarder son déshabillage. Je me retrouve à me rhabiller seul. Je vois au passage les TN de mon patron et la tenue de foot que j’ai porté rapidement. Cette vision me refout la gaule. Je regarde discrètement si mon patron n’est pas sur le point de rentrer. Non. Donc je décide de vérifier l’état de sa TN gauche. Ma jute de ce matin semble avoir été absorbée par la semelle intérieure sans trop laisser de trace mais elles ont pris une légère odeur de yop caractéristique d’un bon dépucelage de TN. Ca y’est ma queue se raidit au travers de mon Lacoste : Yop et cuir de la TN j’adore. Mais bon pour ne pas fâcher mon boss, je décide de mes remettre dans le vestiaire. J’allais partir quand mon patron rentre dans les vestiaires et vient me voir. « - Bon. Je ne sais pas ce qui t’a pris ce matin avec mes sapes et mes rekins. Je n’ai rien dit à Aurélie. Tu es un bon salarié, je ne veux pas me séparer de toi. Je te demanderais simplement de me repayer une nouvelle paire en dédommagement. Tu me les rapporteras tout à l’heure quand Aurélie sera rentrée à la maison comme ça elle n’en saura rien. Ma pointure c’est du 44,5. - D’accord patron. Je suis vraiment désolé de mon comportement. Ca ne sera reproduira plus. » Sur ce, je quitte la boutique et pour respecter ce que m’a demandé mon boss, je me dirige vers le footlocker qui est à quelques rues plus loin. A peine rentré, ma gaule redouble de volume et me dirige vers l’étal des TN. C’est bon les TN cuir blanc sont toujours en vente. Mon œil est cependant attiré par une paire de TN Tiffany et leur beau bleu ciel. J’appelle un vendeur pour lui demander si je peux avoir une paire en cuir blanc et une paire de Tiffany en 44,5 comme j’ai la même pointure que Damien. Le vendeur arrive avec les deux paires et me demande lesquelles je veux essayer en premier. Je lui dit les TN cuir blanc. Eh oui j’ai quand même envie que les TN de mon boss prennent un peu l’odeur de mes soxs. Une fois ce marquage effectué, je dis au vendeur que je prends les deux paires. Je vais régler et sans rappeler Damien, je décide de retourner au fournil pour lui rapporter sa nouvelle paire. Comme prévu, Aurélie n’est plus dans la boulangerie et mon patron est dans son bureau car la porte est entrouverte. J’approche et je frappe à la porte. « -Qui est-ce ? - C’est Antoine, je viens vous rapporter vos TN. - Euh, oui deux secondes s’il te plait… » Je le sens un peu hésitant dans sa voix et il me semble entendre qu’il fait du rangement sur son bureau. « Tu peux entrer… » J’ouvre la porte et je trouve Damien les joues un peu rougies. « - Patron, voilà vos nouvelles TN et encore désol… - Je t’ai dit n’en parlons plus... Tiens je te laisserai récupérer les autres demain. » En effet, je vois une belle boite Nike sur la table. « - Non je veux les récupérer ce soir ? Et puis si demain votre femme voit qu’il y a deux paires de TN cuir blanc elle va se poser des questions. - Euh, euh… Je préfère que tu les récupère demain, bredouille-t-il. Sur ces mots, j’arrive à saisir la boite et je l’ouvre Elle contient bien les belles TN cuir blanc que j’avais ce matin aux pieds. « - Ca ne vous dérange pas si je les mets avant de partir ? - Euh… , je voudrais bien que tu me laisses seul tu les porteras un autre jour. » Je n’obéis pas à mon boss et je décide à enfiler les TN avant de partir. Je prends la gauche que j’ai yoppé ce matin et je commence à bien kiffer enfiler ces bonnes TN. Maintenant au tour de la droite, et là une surprise, il me semble sentir que la semelle est légèrement humide. J’enlève la TN de mon pied pour vérifier et je vois mon patron blêmir à l’idée que je m’aperçoive que l’humidité que j’ai ressentie n’est autre que du yop. Il n’y a pas de doute, l’odeur me confirme que mon patron s’est tapé une queue dans sa TN droite. Je le vois se décomposer et retourner s’asseoir à son bureau. Je m’approche de lui et lui demande si tout va bien. Dans cette position, je peux m’apercevoir qu’il lisait un article sur le site Rookie ou un hétéro parle de son fétichisme pour les skets portées par des hommes. « - Allez patron, ne vous rendez pas malade pour ça. Si vous êtes fétichiste, ce n’est pas grave. - Mais de quoi parles-tu ? Je ne suis pas fétichiste. - Ce n’est pas ce que semble dire ce que vous lisiez sur le net. - Mais …. Mais que dis-tu ? Je ne suis pas … » Je ne le laisse pas finir et je lui colle sa rekin droite sur la gueule en lui maintenant la tête bien dedans. Et j’ai l’impression que sa queue réagit bien à ce traitement. En effet, une se forme sous le survet PSG qu’il avait remis après le boulot. « - Ca te fait kiffer Damien ? - … euh oui… je n’arrête pas de penser à toi dans ma tenue Real depuis ce matin. Ça m’a troublé de te voir dans ma tenue de foot. - Ah bon, et tu voudrais me revoir avec. - Euh oui … non ce n’est pas bien. Il y a Amélie … Je ne peux pas - Allez ne penses pas à ça. Ta queue est en a envie. Regardes comme elle en a envie. Restes ici, tu as laissé ta tenue de ce matin dans le vestiaire. Viens avec moi, on va s’amuser un peu. » Je le prends pas la main et l’emmène vers les vestiaires. En effet, la tenue du Real est toujours dans son placard. Je décide alors de l’enfiler. Damien ne semble pas perdre une goutte de mon changement de tenue. Me voilà dans la même tenue que mon boss portait ce matin et avec ses TN aux pieds. Je décide alors de m’approcher de lui et par réflexe, je le vois parcourir mon corps, toucher le tissu du maillot et il a de petits soupirs et des frissonnements en la palpant. Sa gaule se dessine de plus en plus sous son survet PSG. Je me décide alors de m’agenouiller devant lui et de libérer ce beau morceau de chair qui vient me bifler le bout du nez. Je me décide de lui faire de petits bisous. Damien semble apprécier ce traitement. Il continue de soupirer de plaisir. A cette invitation je léchouille avec gourmandise le beau mat qu’il a entre les pattes. Un bon 18 à vue d’œil. J’apprécie son goût sucré et notamment les traces de sperme qu’a dû laissé sa branlette dans ses TN cuir. Hummm c’est trop bon. Je continue avec ses boules. Deux belles profiteroles qui semblent bien garnies de crème malgré qu’il ait déjà fourré sa TN comme une bonne pâtisserie crémeuse. « Putain tu suces mieux qu’Amélie mon salaud. Oui continue c’est trop bon. » A ces encouragements, je repars à l’assaut de sa tige et de son gland. Je commence à gober ce dernier et à l’enduire de salive. Un frisson lui parcourt la colonne vertébrale. Il semble prendre son pied. Je décide alors de le prendre en gorge profonde pour bien enduire de mouille car j’ai déjà une autre idée pour l’achever. Je remonte au niveau de son visage et lui murmure à l’oreille : « - Alors ça te fait kiffer ? - Oui Antoine. Tu sais comment faire plaisir à un homme » Et là il se jette sur ma bouche et viens la piner en la pénétrant de sa langue. Il me roule une galoche d’enfer. Après ce long baiser, il décolle sa bouche de la mienne et sans lui demander son avis je lui demande de fermer les yeux. Il m’obeit. Je me décide alors de l’achever en lui plaquant la TN cuir blanc pleine de son yop et je le branle avec ma nouvelle TN Tifanny : « - Je vois que tu es devenu accro aux TN. Pour marquer ton passage dans le monde des kiffeurs, je vais te laisser baptiser mes nouvelles Tiffany. Je veux avoir ton jus dedans. Et Damien ne se laisse pas prier. A peine ma TN est sur sa queue que Damien lui donne de grands coups de reins en soupirant et en criant son plaisir. Il décide même à se plaquer lui-même la TN sur sa gueule de kiffeur. Me voilà libre d’une main et je me décide d’humecter mon doigt de mouille et commence à lui titiller la rondelle. A mes caresses, celle-ci semble se détendre . J’arrive ainsi à y rentrer un doigt. Ce traitement semble donner plus de vigueur à Damien qui se déchaine encore plus dans ma tiffany. Je tente de glisser un second doigt qui lui aussi entrer facilement dans le trou de mon boss. Et ce deuxième doigt semble achever Damien qui râle de plaisir en libérant son nectar d’homme dans ma nouvelle rekin. Une fois ce flot de sperme totalement déversé, il vient sentir ma TN et me fait profiter de l’odeur de son jus frais. Cette bonne odeur fait redoubler ma gaule. « Antoine, je crois que tu as révélé mon envie d’hommes. Aurélie s’est absentée pendant ce weekend end avec une amie. Est-ce que tu veux partager ces deux jours avec moi ? » Sans me laisser répondre, il m’embrasse. Pour toute réponse, je décide de lui rendre son baiser. « Mais avec plaisir boss. » A suivre …