Histoires de sexe

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Léo, le mec des quartiers, TN, survet
Histoire gay publiée le 12/07/2021
Salut les gars. Mon histoire s'est passé à la fin de la soirée du premier de l'an. On avait fait la tourné des soirées et le soleil commençait à se lever. On s'est donc retrouvé à 5 chez l'un de nous pour un dernier after. On commence à se caler sur le canap et même si on était déjà bien déchiré, on finit quand même les bouteilles et on fait tourner un dernier oinj. Vers 7-8h on se dit qu'on va aller se coucher mais y a qu'un lit et le canapé clic-clac pour nous 5. On se retrouve donc dans le canapé à 3. Moi je suis serré entre le mur d'un côté et mon pote Léo de l'autre. Léo c'est un mec des quartiers. TN, survet tous les jours et toujours un peu véner quoi qu'il arrive. On se connait pas depuis super longtemps mais on s'est rapproché super vite. Les autres mecs nous chambre souvent en disant qu'on est plus en couple entre nous qu'avec nos meufs. Pendant la nuit, comme on est serré sur le canap je sens que Léo se rapproche de moi. On est face à face et je sens sa respiration conte ma joue. Moi je suis dans les vapes et je me dis que j'aime bien cette sensation. Je me tourne encore un peu pour me mettre bien en face de lui et sans faire exprès je pose ma main sur sa cuisse. Le temps que je m'en rende compte il me prend la main et la pose sur sa bite. Je suis resté sans bouger quelques secondes et pendant ce temps aucun de nous deux n'a dis quoi que ce soit. Moi j'ouvre même pas les yeux, mais au bout d'un moment je commence à malaxer son paquet doucement. Je crois que je me rends pas bien compte de ce que je fais et je me demande si Léo est vraiment conscient aussi. A puissance de lui toucher la bite je sens qu'elle commence à gonfler doucement et ça me motive à aller plus loin. Je passe ma main sous son caleçon et sors son sexe qui est maintenant bien dur. La taille et surtout l'épaisseur de sa bite m'impressionne et c'est à ce moment là que je prends vraiment conscience de ce que je fais et j'ai le coeur qui commence à battre à mille à l'heure. J'ose pas regarder Léo de peur qu'il soit en train de rêver et que je le reveille. Mais en même temps je peux pas m'empêcher de continuer à le branler. Sa bite est brulante et je l'entend faire des petits bruits de plaisir dans mon oreille. Moi j'ai la bite dure comme jamais dans mon caleçon et je commence à me coller encore plus à lui en accelerant les va et vient sur sa bite. Sauf que j'ai du aller un peu trop fort et j'entends notre pote qui rêvais à coté de nous se réveiller. Il se retourne vers nous et nous vois bien collé l'un contre l'autre, mais la couverture cache ma main qui entoure la bite si dure de Léo. Il nous lance un "Vous foutez quoi là les PD ?!". Là je regarde Léo un peu paniqué mais il ouvre même pas les yeux et lui répond juste "Je vais t'enculer et on verra bien qui c'est le PD !". Ca fait rire notre pote qui se retourne sur le canap et se met dos à nous pour se rendormir. Pendant ce temps Léo avait viré ma main et remonté son caleçon. On s'est un peu écarté et on est resté comme ça quelques minutes jusqu'à ce que Léo dise qu'il arrive plus à rêver et se lève. Moi je fais un peu semblant de rêver mais quand j'ouvre les yeux, je vois Léo au pied du canap en train de me regarder avec un air ultra véner. J'ai cru qu'il allait me sauter dessus pour me péter la gueule. Comme il voit que je me suis réveillé il arrête de me regarder et s'en va vers la salle de bain. Moi je prends totalement conscience de ce qu'il vient de se passer : Léo c'est un vrai mec hétéro. Il se tape toutes les meufs du quartier. Il se filme en train de se faire sucer par ses meufs et hésite pas à les faire crier comme des chiennes quand il les baise pour que tout le quartier les entende jouir. Les autres mecs ils le respecte parce qu'il hésite pas à se battre et il a toujours des plaies sur les mains à puissance de frapper. Je commence donc à me lever aussi et à me rhabiller pour partir vite d'ici mais me faut passer devant la salle de bain pour sortir et Léo a laissé la porte ouverte. Pas possible de partir sans qu'il me voit. Je tente quand même le coup, mais en passant devant la porte de la salle de bain je le vois face à l'évier en train de se masturber. Il me voit dans le reflet du miroir et se retourne avec sa bite dans la main et le même regard de haine que tout à l'heure. A ce moment là je ressens à la fois la peur et l'excitation. J'arrive plus à penser et à bouger mais Léo s'avance doucement et vient se placer devant moi. Il me prend la main et vient la poser sur son sexe toujours aussi brulant, comme il l'avait fait dans le lit pendant qu'on rêvait. J'ose plus bouger ni le branler donc il vient me parler tout doucement à l'oreille et me dis "T'as intérêt à finir ce que t'as commencé sans plus réveiller personne ou tu sortira de cette pièce sans tes dents". Je recommence donc à le branler doucement et Léo me prend par la nuque pour me faire avancé dans la salle de bain et fermer la porte derrière moi. Au bout d'une minute je sens qu'il appuie sur ma nuque pour que je me baisse. Je résiste un peu mais il est bien plus musclé que moi et je me retrouve à genoux devant sa bite bien raide mais je suis pas prêt à mettre un truc si gros dans ma bouche. Je regarde sa bite en hésitant et là je sens un gros molard atterrir dans mon oeil. J'essaye de l'enlever avec ma main mais Léo m'en empêche et vient plutôt nettoyer avec son gland. Il étale le molard sur toute ma joue avec sa bite et jusqu'à ma bouche où il puissance le passage et entre doucement mais jusqu'aux couilles. J'ai la nausée et les larmes qui me monte aux yeux mais il enlève pas sa bite de ma bouche et m'appui bien fort sur la nuque pour que je puisse pas partir. Il commence à faire de vas et vient toujours en me tenant la tête à deux mains. Moi j'essaye de le repousser mais il est bien plus fort que moi et il garde le dessus jusqu'à ce qu'il décide de se retirer. Je suis en larme et essoufflé tellement il est allé profond et sa bite dégouline de ma salive. Léo continue à me regarder avec son regard véner et me dis "T'as de la chance qu'on soit pas seuls parce que sinon je t'aurais défoncé le cul pour que tu puisse plus jamais t'asseoir". Là j'ai essayé de me relever mais Léo me remet au sol en m'appuyant sur l'épaule et commence à se branler sur ma face jusqu'à jouir 5 ou 6 gros jet sur moi. J'en avais partout, dans les cheveux et sur la gueule.