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Plan cul skets et survets
Histoire gay publiée le 02/08/2022
Avec Hervé on a échangé sur beuronline.com C’était aussi clair dès le départ que ça serait un plan kiffeur. Il me demanda donc de mettre un pantalon de survêt, un caleçon bien large en dessous et les TN. Hervé est un mec plutôt grand dans les 1m90. Bien taillé car sportif avec un cul imberbe et un corps lisse. Hervé a une tête de gentil garçon : on n’imagine pas que c’est un passif bien vicieux au lit. Il avait demandé à ce que je porte un caleçon large pour que ma queue puisse bien bander à travers le survêt. J’arrive donc chez Hervé. Ce mec est une grand blanc au regard bleu intense. Il m’accueille en survêt et TN. Ce survêt lui fait un cul des plus prometteur. A son regard vers mon paquet je sens que le mec a faim et qu’il aime la bonne queue. Et bien il ne va pas être déçu. On s’installe dans le canapé tranquille et on commence à parler tout en se matant nos TN et nos survêts. Je vois bien dans son regard qu’il kiffe mes skets et la qui est déjà formée sur le survêt. Il a le regard qui crie « de la bite, vite » Alors on commence à se caresser à travers nos survêts. Cela provoque une bonne réaction chez moi : ma queue devient bien dure et comme je porte un caleçon la est clairement indécente. On se roule des bonnes pelles et ça me permet de faire glisser mes mains sur le cul d’Hervé. Son cul a l’air bien musclé comme j’aime. Je glisse une main dans son survêt : son cul est lisse et je devine que son trou est bien rasé comme il faut. Hervé a un peau plutôt de blond. Un peu douce et lisse. Je glisse un peu plus mes doigts vers son trou tout en le regardant droit dans les yeux. Je vois à son regard que je suis en train de réveiller la salope qui sommeille en lui. Je ne m’y trompe pas. Son trou est chaud, humide et souple. Mes doigts rentrent assez facilement et aux râles qu’Hervé lâche je sais que je m’y prends bien. Ma queue est encore plus raide à l’idée de se glisser dans ce trou accueillant et chaud. Je continue à lui travailler le cul mais je vois bien qu’il ne tient plus et qu’il attend plus. Je lui dit : je crois que tu as envie de pomper ma grosse queue non ? Et sans aucune hésitation, il me répond : ouais je suis grave en manque de chibre. Il comment alors a passer sa bouche sur mon jogging pour renifler ma queue à travers le tissus. Ma queue est alors bien gonflée, prête à sortir pour aller dans le 1er trou qu’elle rencontre Hervé est donc la, à quatre pattes devant moi le cul bien tendu. Il finit pas baisser mon jogging et mon caleçon. Ma queue sort telle un ressort et il se jette dessus comme un affamé. Il l’a suce bien à fond, en mouillant bien de salive toute la longueur de ma queue. On voit dans son regard qu’il aime ça, sucer un mec viril. J’en profite alors pour lui pilonner la bouche. Je lui tient le dernière de la tête pour que chaque centimètre de ma queue rentre dans sa bouche. Il pousse des râles de plaisir tellement il aime ça. Cela me donne du cœur à l’ouvrage et je rythme mes pilonnages en fonctions de ses cris de plaisir. Ma queue est lubrifiée avec sa salive. De temps en temps j’en profite pour lui donner de petites biffles. Je vois à son regard qu’il adore ça et qu’il en redemande. De temps en temps aussi je lui fais sniffer ma TN. La je vois son regard s’illuminer et il me montre encore plus son côté salope. Cela lui redonne envie de sucer ma queue à fond. Et après avoir bien sniffe ma TN, il me suce frénétiquement ma teub. Cela me donne encore plus envie de la lui mettre en fond de gorge. Je vois qui il bouge bien son cul. J’en profite pour lui caresser son cul bien musclé et imberbe. Je dirige immédiatement les doigts vers son trou. Putain cette chienne a déjà le trou bien ouvert et il mouille du cul. Je pense que je vais y rentrer comme dans du beurre malgré l’épaisseur de ma queue. En effet quelques instants plus tard Hervé me tend son cul et me demande de l’enculer. Je rentre facilement dans son trou. Il est chaud et doux. Il me demande de le pilonner sans ménagement. Ce que je fais. J’enfonce ma queue jusqu’à ce que mes couilles touchent son cul. J’accélère le rythme en tenant fermement ces fesses pour imprimer le rythme du pilonnage. Je sens qu’il prend son pied à se faire prendre. Je lui susurre à l’oreille qu’il a un bon de cul de salope. Cela a pour effet immédiat à c qu’il cambre davantage son cul pour mieux sentir ma queue le pénétrer à fond. Après quelques minutes de baise intensive il pousse un râle et éjacule une bonne quantité de sperme sans avoir bandé Je me retire de son trou béant et je décharge sur sa gueule. Il lèchera tout mon jus chaud déposé sur sa petit gueule de petasse. Je me sens vidé mais heureux. J’essuie le reste de jus sur sa lèvre supérieure et je lui roule une grosse pelle. Je le laisse ensuite et je me casse.