Histoires de sexe

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Remis à ma place - 1
Histoire gay publiée le 24/10/2022
Je commence une histoire qui devrait durer quelques chapitres. Elle se lance assez doucement, mais j'espère qu'elle vous fera bander quand même. Enjoy ! Quand j’arrive pas à rêver, j’aime aller me promener un peu dans les rues de la ville, et me fumer une ou deux cigarettes. J’étais donc de sortie une nuit en octobre, en stressant pour mes études. Comme je suis pas très riche, je vis dans un quartier pas spécialement reluisant de Marseille, mais en tant que jeune mec assez grand, je n’ai jamais eu trop de soucis. Pour me décrire rapidement, j’ai 22 ans, je fais 1 mètre 80 pour 80 kilos, en bonne forme sans être athlétique non plus, barbu et poilu, la peau pâle, je m’appelle Lucas. Je me pose donc sur un banc et je sors une clope. La nuit est assez fraîche, mais avec une petite veste, je me sens plutôt bien dans le calme de la nuit. Je fume en fermant les yeux et me détends tranquillement. J’entends deux ou trois personnes passer sur les trottoirs, mais je n’y prête pas vraiment attention, jusqu’à ce que quelqu’un ne se pose à côté de moi. J’ouvre les yeux, un surpris et je regarde celui qui vient d’arriver. Il est jeune, sûrement juste un peu plus vieux que moi, c’est assez clairement un rebeu, peau brune, cheveux bouclés et courts, habillé comme un lascar, survêtement gris, baskets à la mode, une casquette posée sur ses genoux. Il n’a pas vraiment l’air de faire attention à moi, et il fume aussi même l’odeur indique que ce n’est pas juste du tabac. Il n’a pas l’air de chercher des problèmes, et même s’il est très à mon goût, je préférerais être seul, je tire donc plus vite sur ma clope, et quand elle est terminée, je la jette et me prépare à me lever quand le mec, sans rien dire, me tend son joint. c’est gentil merci, mais ça va. Il ne répond pas, mais continue à tendre son joint. J’hésite, et je me dis au final que ça ne coûte pas grand chose. Je lui prend donc des mains et commence à fumer. Il pose alors un pied sur le banc, près de moi, et laisse l’autre sur le sol, écartant largement les cuisses. Il s’appuie alors sur le banc pour s’en rouler un nouveau, et je ne peux pas m’empêcher de jeter des regards sur son entrejambes appétissant. Il commence alors à me parler. T’es d’ici ? T’as pas une tête de mec de cité et je te connais pas. Je suis du quartier d’à côté, je suis étudiant et le quartier est pas cher. Et ça te dérange pas la réputation du coin ? Rudesse, remontant, arabes tout ça ? Jamais eu de soucis et au contraire je vous aime bien, vous êtes cools en général. Aah et mater nos queues tu le fait avec tous ou juste moi ? Il dit ça tranquillement en finissant de rouler son joint. Je suis surpris, et je relève les yeux de son paquet. En le regardant par en dessous comme ça, je me sent écrasé, soumis. Il est beau il a le regard noir et dominant, il me fait un peu peur et m'excite en même temps. Je craint un peu le traquenard, et malgré mon début d'érection, je décide d'essayer de désamorcer. Je vois pas de quoi tu parles, je suis pas gay. La défense est un peu faible, certes, mais je n'ai aucune autre idée. Je jette mon le reste du joint qu'il m'a donné alors qu'il allume le sien et me prépare à me lever, mais j'hésite un peu, à moitié par peur qu'il réagisse rudement, à moitié parce que je sens que j'ai envide voir ce qu'il me réserve. T'as raison, reste pas assis à côté de moi, je déteste quand une salope de céfran se croit le droit d'être au même niveau que moi. À ta place. Les derniers mots sonnent comme un ordre, et il montre le sol du menton. J'en reviens pas le mec vient vraiment de me demander de me mettre à genoux devant lui par qu'il est arabe et que je suis français, il se prend pour qui. D'un autre côté une assurance comme ça, il faut bien dire que c'est excitant. Alors que j'hésitais toujours sur quoi faire, une claque part tellement vite qu'il me faut plusieurs secondes pour réaliser qu'il vient de me frapper. Un peu sonné, je ne réagit pas non plus quand il bouge, et que de sa main libre, il m'attrape fermement la gorge en tenant toujours son joint de l'autre. Il serre fort, et me regarde près, l'air très énervé. Il me crache au visage, et avec l'air le plus méprisant que j'ai vu de ma vie, m'ordonne : Met toi à genoux devant moi sale chienne. Il me relâche aussitôt la gorge, et reprend tranquillement sa place. Je suis donc là, le joue brûlante, je sens sa salive couler sur mon visage, je bande tellement que j'ai mal, et je vois que son paquet semble nettement plus gros aussi. Et donc, évidemment, j'obéis, je me met à genoux devant cet étranger, en pleine rue, et j'attends qu'il me dise quoi faire, toujours un peu perdu entre excitation, peur et humiliation, mais trop choqué pour me lever et m'enfuir en courant, ce que j'aurai sûrement fait, si j'avais pu réfléchir normalement à ce moment. Regarde mes skets petite petasse. Il y a une tâche là. Il montre sa chaussure gauche, et effectivement, il y a une tâche, probablement une soda ou une autre limonade sucrée et collante. Il ne dit rien de plus, et je sais très bien ce qu'il veut que je fasse. S'il ne m'avait pas déjà touché avant, je pense que je ne me serais pas résigné comme ça à littéralement lécher les pompes d'un mec dans la rue, même en pleine nuit, mais je le sens impatient, et ma tête et un peu trop proches de ses pieds pour que je puisse ignorer le risque de me prendre un mauvais coup. Alors, humilié, je commence à baisser la tête, en sentant ma bite dure comme du fer, et voilà, j'y suis, je lèche sa basket. Dégoûté, je le fais tout hésitant au début, mais je finis par me dire que plus j'y mettrais d'entrain, plus vite se serait fini. Alors que je m'active, il pose son autre pied sur mon dos, et appuie bien fort pour me tenir en place, et je comprends vite pourquoi, quand j'entends des pas s'approcher, puis ralentir un peu, et enfin s'arrêter juste après nous avoir dépassés. C'est un bon lui, moi aussi je veux une salope pour me laver les pompes. C'est la voix d'un autre mec, avec un fort accent arabe, qui à l'air de trouver la situation très drôle. Le mec qui me domine, et dont je connais même pas le nom, commence à rire, et lui répond qu'il vient juste de me trouver. Soudain, il bouge, enlève sa jambe, et m'attrape par les cheveux pour tirer ma tête en arrière, et me balance un nouveau gros crachat sur le visage, avant de me faire regarder l'autre gars. Comme je m'en doutais, c'est aussi un rebeu, avec un style assez similaire, mais moins charmant, moins sportif. Le mec à l'air d'être tout de même un peu gêné, il est probablement hétéro. Mon rebeu reprend la parole : Vas-y crache lui à la gueule il adore ça, la bave de rebeu, pas vrai ? Oui c'est vrai, je dis en baissant un peu le regard. Le mec hésite, mais finalement s'approche, et ajoute sa bave sur ma gueule, et je suis tout de suite renvoyé sur les skets. Les deux rebeux discutent encore un moment, puis l'autre s'en va. Bon sale petasse maintenant on va passer la vitesse au dessus, tu va prendre cher. Suis moi. Il se lève, sans me regarder, et s'en va en marchant lentement. Je suis au sol, couvert de bave, un goût infâme dans la bouche, et je pourrais sûrement m'enfuir maintenant si je voulais. Mais sans rien dire, je me lève aussi, et je commence à le suivre, comme tisé. Si ce début d'histoire vous plaît, attendez la suite qui va être encore bien plus chaude