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Baisé devant tout le monde
Histoire gay publiée le 29/11/2022
Mon maître rebeux avait décidé que nous allions sortir dans un bar gay, c’est un bar qui organise des soirées à thème. Ce soir là c’était soirée kiffeurs. Bien sûr c’est lui qui avait choisi les vêtements que j’allais porter. Son choix s’était arrêté sur un ensemble survet en cuir vegan, avec un jock strap, des cho7 blanches Lacoste que je portais par dessus l’élastique du bas du pantalon, qui était remonté au dessus de mes chevilles, et ma paire de TN noires. Sous la veste du survet il avait décidé que je ne mettrai rien d’autres qu’un harnais, qu’il voulait que tout le monde voit en ne remontant pas le zip jusqu’en haut. Quand nous sommes arrivés au bar, l’endroit était gavé de monde, tous sappés dans le thème de la soirée. Je passais devant pour créer un passage à mon maître qui était collé juste derrière moi. Si je suis son soumis à dispo en privé, quand on sort, il me traite face aux gens comme son copain ou un pote en fonction des circonstances. On est arrivé au bar pour commander un verre et ensuite on s’est frayé un chemin parmi la foule. Il salua quelques connaissances et trouva un groupe de potes qui étaient installés à un table. On s’est installés avec eux mais comme il n’y avait qu’une seule place de libre, mon maître s’asseya et me dit de m’asseoir sur lui. Je kiffes quand il me considère comme son copain et qu’on a des attitudes de couple. La soirée se passait, on discutais avec ses potes lorsqu’il me dit à l’oreille : « j’ai envie de toi salope, j’ai mon zob bien raide qui se frotte contre ton boule, j’ai envie de te pénétrer maintenant ». Bien sûr ses paroles m’ont chauffé direct surtout que d’être à califourchon sur lui me donnait envie aussi de me faire ken. Le pantalon de survet qu’il avait choisi a, en plus de la matière qui est kiffante, une autre particularité bien hot : il a un double zip devant et derrière. Lui avait choisi de mettre un débardeur blanc qui marque bien sa musculature, une veste de survet adidas chile62 et un bermuda en jean un peu destroy avec des AM90 aux pieds. Il me dit : « soulève toi un petit peu que je bouge ma queue qui est coincée ». Bien sûr c’est ce que je fît et me réinstalla sur lui quelques secondes après. Il m’avais tiré par les hanches vers lui de façon à être maintenant assis juste au dessus de son zob que je sentais en effet raide et bien dur. Tout en continuant à parlait avec le groupe, je sentais qu’il commençait à baisser la fermeture éclair arrière de mon survet mais ne pouvait pas le faire en entier. Là j’ai compris : il voulait que je m’assois sur sa queue bien raide, devant tout le monde, sans que personne ne s’en rende compte et continuer à faire semblant de rien. Le bar était tellement full que personne ne s’en serait aperçu. Je décidais alors de l’aider dans son entreprise, me souleva à peine et discrètement passa ma main sous la table de façon à attraper la tirette du zip et l’ouvrit entièrement. Je me suis calais à nouveau contre mon maître et doucement tira sur les côtés de mon pantalon de façon à ce que l’ouverture de la fente arrière s’écarte bien. Je pouvais maintenant sentir sa tige bien raide contre la raie de mon boule. J’en avait le vertige et des bouffées de chaleur. Il me dit à nouveau à l’oreille « soulevé toi encore un peu discrètement, fais en sorte que que personne ne remarque rien, je vais te foutre ma grosse queue de rebeux dans ton cul de salope et tu vas t’empaler dessus ». Putain j’avais vu juste, il voulait m’enculer devant tout le monde. Waouh j’en pouvais plus d’excitation. Je me suis donc soulevé discrètement comme si je cherchais quelque chose dans la poche de mon pantalon. Lorsque je sentis son gland contre mon trou bien ouvert, je me suis délicatement assis : fuck mon maître était entrain de me bzer devant tout le monde au milieu d’un bar sans que personne ne s’en aperçoive. Je kiffais ma race, je sentais des petits coups sec dans ma chatte pendant que nous continuions à discuter. Nous avons continué comme ça pendant un bon moment, tantôt c’est moi qui bougeait mon boule, tantôt lui m’attrapait par les hanches ou passer sa main dans mon dos, sous la veste pour attraper le harnais et tirais à fond pour me niker bien profond. J’étais en extase d’avoir la teub de mon maître dans le boule tout en ayant l’air de rien devant ses amis. Et le plus excitant encore c’était quand de temps en temps il me susurrait des choses à l’oreille comme « Tu la kiff sale tapette la queue de ton maître et te faire bzer devant tout le monde » ou « je vais te féconder sale chienne comme une petasse au milieu du bar »… putain c’est clair que je kiffais ça….